Le printemps des cimetières avec pour thème la faune, la flore et la biodiversité.
POURQUOI AVONS NOUS CHOISI LE JARDIN AN- MIL avant d’aller au nouveau cimetière ?
D’abord, ce jardin privé, situé au coeur historique de notre village ceint par le mur du vingtain (réalisé avec le vingtième de l’impôt) fût l’emplacement même où, aux alentours de l’An Mil, naquit notre village. Il s’y dressait une «tour défense» (comme aurait dit Sylvaine Fanjat), et plus tard une église entourée de son cimetière.
Pour conserver ce passé Tourellois, une équipe de bénévoles y ont œuvré pour reproduire un jardin nourricier fait de carrés.
– le verger où les tombes dormaient et l’herbe croissait, lieu du cimetière.
– le jardin des utiles (pour teinter, décorer, peindre).
– le jardin d’agrément ou jardin secret (appeler préau) pour se reposer et flirter avec la nature.
– le jardin de Marie pour les senteurs et la beauté des fleurs.
– le jardin des simples (rendons hommage à Hilledegarde de Biguen dont l’ouvrage répertoriait les 170 plantes sauvages ou cultivées qui permettaient de se soigner).
Nous avons pour challenge de proposer de l’information, de la réflexion, et la mise en œuvre de gestes simples de la vie de tous les jours tels que tri sélectif, compost, récupération des eaux de pluie, chasse au gaspillage… Pour sa cohérence, sa compréhension et son efficacité, cette démarche s’intègre dans des actions de sensibilisation sur le :
«Le mieux Vivre Ensemble» dans un environnement plus sain et plus attentif au lien social.
